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 Pour ou contre l'utilisation de l'énergie nucléaire?

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dorcas meadowes
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MessageSujet: Re: Pour ou contre l'utilisation de l'énergie nucléaire?   Pour ou contre l'utilisation de l'énergie nucléaire? - Page 3 Icon_minitimeDim 11 Fév 2007 - 18:42

Je suis contre le nucléaire civil et millitaire. D'ailleurs il y a une centrale près de chez moi, en été ils ont déversé des produits chimiques dans l'eau sans rien dire. Cela m'a beaucoup choqué, de plus le millitaire tue des milliers de personnes pas forcémant à cause de la bombe mais des cancers. Il faut se souvernir d'Hiroshima de Nagasaki et de Tchernobil.
tant de personnes sont morts pour des choses aussi abjectes que la guerre ou des accidents dans des centrales. Tout cela doit cesser.
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Eldar
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MessageSujet: Re: Pour ou contre l'utilisation de l'énergie nucléaire?   Pour ou contre l'utilisation de l'énergie nucléaire? - Page 3 Icon_minitimeLun 12 Fév 2007 - 17:26

Je suis partagée .

D'une part l'énergie nucléaire ne diffuse pas de gaz à effet de serre ce qui
est une bonne chose pour l'atmosphère . Et nos chers trains fonctionnent au
nucléaire ...
D'autre part je ne suis pas d'accord sur l'utilisation du nucléaire :
- si on ne créait pas de centrales , on pourrait faire baisser de façon considé-
le chomage ;
- au bout de cent ans les bennes qui contiennent les produits radioactifs se
désagrègent à leur contact contaminant la vie marine et détruit toute possi-
bilité de naissance donc peu d'enfants pourront voir le jour (cf 1986 );
- une réaction nucléaire dure de 3 à 4 milliards d'années donc impossible à stopper .
- une bombe nucléaire est capable de détruire les atomes .
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Sherryn
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MessageSujet: Re: Pour ou contre l'utilisation de l'énergie nucléaire?   Pour ou contre l'utilisation de l'énergie nucléaire? - Page 3 Icon_minitimeDim 18 Fév 2007 - 19:51

P.... je viens seulement de me rendre compte que j'ai encore dans mon disque dur la rédaction de ma page internet sur la fusion controlée et la politique / économie !!! oO

La voici :



tous consultés le 25 avril 2006
Fusion contrôlée :
Quels sont les enjeux politiques et économiques liés au projet ITER ?






Problèmes actuels liés à l’énergie



Personne n’ignore que nous sommes dans une période de reconnaissance mondiale concernant les problèmes lié au climat auxquels nous aurons vraisemblablement à faire face dans un avenir proche.

En effet, on prévoit une raréfaction dramatique des énergies fossiles pour 2040-2050 environ. Notre monde actuel repose sur les dites énergies fossiles (chauffage, transports,…) ; cependant, une fois celles-ci disparues, il nous faudra bien disposer d’une autre source énergétique pour continuer à vivre. C’est à l’élaboration de cette nouvelle source que travaillent aujourd’hui les plus grands chercheurs.

L’élaboration de cette nouvelle source énergétique est d’autant plus pressante que la demande énergétique mondiale va continuer de croître. Ceci est dû à la croissance naturelle des populations, ainsi qu’à l’élévation générale du niveau de vie. Encore de nos jours, deux milliards de personnes n’ont pas accès à l’électricité ; il va sans dire que ce chiffre droit impérativement diminuer.

L’un des projets les plus sûrs est la réalisation de la fusion contrôlée, avec notamment le fameux projet ITER. Ce dernier revête également une importance non négligeable aux niveaux politiques et économiques. En effet, l’Histoire a prouvé que sciences et savoir ont de tout temps rapproché les peuples ; voilà qui donne au projet ITER le rang d’occasion historique



Situation politique passée



On pourrait dire que tout a débuté dans les années 80, en pleine guerre froide. Trois présidents, Gorbatchev, Regaen et Mitterand, se penchent sur la création d’un projet international scientifique. Leur but est alors essentiellement de promouvoir les relations pacifiques entre les peuples ; comme dit dans l’introduction, « sciences et savoir… »

C’est au Sommet de la Terre à Rio en 1992 qu’a eu lieu une prise de conscience internationale du risque tout proche de bouleversement climatique.

Cinq ans plus tard, en 1997, la volonté internationale de stabiliser les émissions de gaz à effet de serre aboutit à des engagements quantitatifs juridiquement contraignants : c’était le Protocole de Kyôto. Celui-ci encouragea les pays à se montrer solidaires, unis et conscients des périls climatiques proches nécessitant la diminution de la quantité de CO2 et autres.



Situation politique actuelle



De nos jours, les problèmes énergétiques, en particulier le contrôle des marchés du pétrole et du gaz, font partie des enjeux de la stratégie internationale de tous les pays. Le protocole de Kyôtô a cependant marqué une nécessaire diminution à venir de la consommation d’hydrocarbures, ce qu’appréhendent évidemment les pays pétroliers.

Toutefois, la situation politique actuelle n’est déjà pas idéale, et pourrait empirer avec la tension sur les énergies fossiles. Si une nouvelle crise majeure avait lieu, elle aurait de fortes répercussions internationales. Le protocole de Kyôtô a bien sûr déjà esquissé les ébauches d’une solution, mais celle-ci sera longue ; par exemple, les pays signataires ne doivent diminuer leurs émissions de gaz à effet de serre que de 5% d’ici à 2012, par rapport à leur niveau en 19990 !

De plus, reste le problème des pays en voie de développement. Pour que ceux-ci puissent diminuer leurs émissions, il faudrait que les pays riches fassent preuve d’une grande solidarité en annulant la dette publique de ces pays, ce qui n’est pas si simple.

Concernant le projet ITER, il y a actuellement 6 grands pays ou ensembles de pays qui collaborent ensemble. Ils sont assez bien coordonnés, mais s’affrontent également quelquefois. Il en fut ainsi, par exemple, pour le choix du site de l’implantation du projet. La France avançait Cadarache (sud-est de la France), le Japon, lui, proposait une de ses régions du Nord, Rokhaso-Mura. C’est finalement Cadarache qui a été choisi, mais le Japon a obtenu en compensation que les autres organismes liés à ITER soient implantés sur son sol. L’Europe scientifique et industrielle avait tout intérêt à remporter cette manche, car cela lui a permis de conserver son rôle de leader dans le projet. La France, notamment, possède un statut particulier : elle a une mission étatique d’accompagnement du projet et l’agence ITER-France quia pour mission de préparer le site et d’accueillir le personnel international.

Parlons maintenant des Etats-Unis. Ceux-ci ont rejoint le projet après s’en être détournés trois durant. D’après leur dire, leurs motivations étaient purement scientifiques (ils avaient déjà un programme, « Fusion Science ») mais personne n’ignore que pour eux, la problématique de l’approvisionnement en énergie est sans doute davantage liée au maintien d’une sphère d’influence sur les pays producteurs de pétrole ou de gaz. A leur retour, les Etats-Unis se sont cependant engagés contractuellement à ne plus sortir du projet pour un minimum de 10 ans.



Conséquences politiques éventuelles



Comme nous l’avons dit, la situation politique actuelle est loin d’être idéale. On espère que la fusion contrôlée pourrait apaiser les tensions liées aux sources d’approvisionnement énergétiques, le combustible se trouvant uniformément sur toute la planète.

Il convient toutefois de nuancer cet avis en rappelant que la fusion contrôlée est une énergie qui nécessite une grande maîtrise scientifique ainsi qu’un appareil industriel élaboré. Elle n’est donc pas tout à fait égalitaire.

Du côté des résultats, il a été convenu que l’ensemble des partenaires auront accès aux résultats d’ITER et que tous les développements obtenus seront protégés.



Situation économique actuelle



Le projet ITER donnera accès à une source d’énergie inépuisable et non-polluante ; inutile de dire que les enjeux en valent la peine. Economiquement parlant, la fusion contrôle présente également un vif intérêt, car peu d’énergie sera nécessaire pour en produire beaucoup.

Mais de nombreuses étapes doivent encore être surmontées, et ces étapes doivent être financées. Le financement, justement, est très élevé puisque 10 milliards d’euros ont été investis sur 40 ans. L’Europe considère cependant que le projet ITER est une chance qu’elle doit saisir en valorisant cet investissement sur cette période. C’est également la raison pour laquelle elle soutenait l’implantation du projet sur son territoire.

La somme de 10 milliards a été répartie entre 32 pays, dont la moitié sera à assumer par l’Europe. Dans cette moitié, 38% devront être payés par Eurotom et 12% par la France.

La seule construction du projet va durer 1 an et coûter 4570 millions d’euro.

Actuellement, ITER représente pas moins de 1.3% du budget total consacré à la recherche européenne dans le programme sciences et développement.



Conséquences économiques éventuelles « positives »



Les enjeux du projet ITER, on le répète, sont : une résolution à long terme des problèmes énergétiques mondiaux et une innocuité environnementale. A cela, on pourrait ajouter un coût de fonctionnement considéré comme faible, une fois développé industriellement.

Précisons que la fusion contrôlée ne pourra remplacer le pétrole ni dans ses fonctions chimiques, ni dans ses fonctions de transport, mais elle pourra le remplacer pour le chauffage.

Au niveau professionnel, le projet ITER générera dans les 1500 emplois dans sa phase de construction et près de 2500 pendant l’exploitation. ITER fournira 500 à 1000 emplois directs et plus de 3000 emplois indirects.

Ces emplois seront créés principalement pour l’assemblage, mais aussi pour la mise en place des itinéraires, la construction d’une école internationale et des activités de service. Enfin, ITER dépensera dans la région où sont site est implanté plus de 100 millions d’euros par an.

Tout ceci aura pour conséquence une impulsion nouvelle au développement régionale, voire une véritable dynamique régionale. Le territoire connaîtra sans doute une évolution profonde et durable, et constituera un pôle d’attraction pour des industries françaises et étrangères ainsi que leur cadre.



Conséquences économiques éventuelles « négatives »



Tant le coût d’investissement que les frais de fonctionnement et d’installation seront relativement élevés.

Le coût d’investissement sera de l’ordre de 4.5 milliards d’euros.

Les frais de fonctionnement s’élèveront à 250 millions d’euros par an.

L’exploitation, elle, s’étendra sur 20 ans et coûtera 4800 euros.

Enfin, la phase de démantèlement exigera encore 530 milliards d’euros.

Sur le plan scientifique, les détracteurs du projet ITER ont relevé que les parois du réacteur imaginé seraient très vite fragilisées par l’impact des électrons, ce qui nécessiterait de les remplacer régulièrement à grands frais tout en occasionnant un nombre élevé de déchets radio-actifs, ce qui entraînerait des conséquences bien plus graves que la question de départ sur l’approvisionnement énergétique.

Ces affirmations ont cependant été démenties par ITER, qui prétend que les déchets en questions seraient moins importants que pour centrales de fission, le nombre cumulé de neutrons dans ITER étant bien plus faible. De plus, des matériaux particulièrement résistants (par exemple un nouvel alliage d’acier) sont prévus pour le réacteur du futur. Ces déchets seront de l’ordre de 100 tonnes par an, dont 95% de faible et très faible activité. Lors du démantèlement de l’exploitation, on en comptera 30000 tonnes. Un lieu a déjà été prévu en France pour les recueillir.

Pour finir, on notera que les conséquences économiques sur la région sont toutefois encore très incertaines et soulèvent encore beaucoup de questions.



CONCLUSION : Arguments contre le projet ITER



Il est sans doute utopique de penser réaliser la technologique de fusion contrôler et de la diffuser massivement dans un avenir très proche. Or, les problèmes climatiques actuels exigent une solution urgente. On craint donc que si le projet est effectivement réalisé, les réponses qu’il apportera seront soit partielles, soit trop tardives.



conclusion : Arguments pour le projet ITER



La réalisation du projet résoudrait à long terme les problèmes énergétiques de l’humanité, ce n’est donc pas une broutille. Des résultats encourageants ont déjà été obtenus, faisant espérer qu’elle n’est pas si utopique que cela. Enfin, au niveau scientifique, le sujet susciterait le développement de pôles d’excellences liés aux processus techniques et scientifiques induits par les besoins du programme ; cette maîtrise de hautes technologiques engendrerait des retombées indirectes, qui ne pourraient être qu’un progrès scientifique.



Bibliographie :

Bibliographie :



http://www.monde-diplomatique.fr/2005/01/DESSUS/11800

http://www-drfc.cea.fr/site/2004-10-iter_proposition_article_iris55.pdf

http://www.recherche.gouv.fr/discours/2002/dconfenergie.htm

http://www.paperjam.lu/c/n/l/articles/13694.html

http://www.debatpublic-iter.org/actualite/compte-rendu/compte-rendu_09032006.html

http://lafeuille.blogspot.com/2006_01_01_lafeuille_archive.html
consultés le 25 avril 2006
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MessageSujet: Re: Pour ou contre l'utilisation de l'énergie nucléaire?   Pour ou contre l'utilisation de l'énergie nucléaire? - Page 3 Icon_minitime

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